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« Rebirth » Album Review

ITW

THE RUSTY BELLS : LES ANNEES SIXTIES REVIENNENT PENDANT 40 MINUTES.

Après avoir beaucoup tourné dans la ville de Toulouse, The Rusty Bells sortent  leur premier opus « Rebirth ». Un album aux styles psychédélique, trash et garage.

Nous sommes en 2012. Imagines toi aller dans ton grenier pour fouiller dans tes vieux vinyles afin de retrouver un peu la douceur d’antan du rock’n’roll. Et là, tu trouves celui des Rusty bells. Tu te souviens vaguement des coups de riff, de la guitare et de la voix saturé. Alors, tu réécoutes. Voilà le contexte danslequel je me trouvais en écoutant pour la première fois l’album « Rebirth » des Rusty Bells.

Tout d’abord, j’ai vraiment cru qu’ils en étaient à leur second album. Faux ! Ce qui est tout à l’honneur du groupe. D’autant plus qu’ils sont déjà sur tous les fronts de la toile : facebook, twitter, soudcloud, myspace, itunes, youtube et deezer. Impossible de les manquer.

J’avais déjà entendu parler d’eux sans savoir qui était ce mystérieux groupe. C’est la concrétisation avec l’écoute de leur premier album. Ce fut une très belle surprise. Il commence avec le titre « From bad to worse » un bon groove et un rythme entraînant. Et ça continue à coup de trémolo et de voix saturée.  Un fabuleux mélange d’une atmosphère sombre, assez mature et d’une ambiance macabre à la Tim Burton. Je pense aux titres « because of him » et « Nothing is right ». « My steel brother » au commencement est assez stone, puis monte en puissance, « Pony’s black idea » est très sombre et manque de virer au metal.

The rusty bells s’est fait plaisir en jouant tantôt une guitare très nerveuse, tantôt plus stone.

Le fameux groupe Toulousain contient des parcelles d’ambiance à la The kills, The Horrors ou bien de The Doors.

En conclusion, Rebirth c’est sombre, old school, rock garage et mature. The rusty bells c’est un univers à découvrir. Ils passent le jeudi 28 juin à la Dynamo à Toulouse (20h/5€), une date à inscrire dans votre petit agenda.

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Comment vous êtes-vous rencontrés les uns les autres ?

Jérémy : Nous (Jérémy et Fabien) on se connait depuis un moment, on se croise depuis une dizaine d’années, on a des passions communes. On s’est aperçu qu’on faisait tous de la musique chacun dans notre coin. Je connais Christophe depuis 15 ans. Nous nous sommes rencontré grâce à la musique, via une annonce sur internet. On ne s’est pas lâché depuis !

Quelles sont vos influences musicales ?

Jérémy : Les influences sont assez variées et assez larges. En ce qui concerne la manière de composer et des arrangements, on écoute à la fois du Pink Floyd, du Rolling Stones… Chacun a ses influences et ça donne quelque chose d’assez varié mais cohérent entre nous.Par exemple, Fabien écoute du métal. Ça n’a rien à voir avec The Rusty Bells ! On sait où on veut aller, on n’est pas fermé sur un style de musique.

Thomas : Moi j’écoute surtout Daft Punk, Justice, NTM…

Cela fait combien de temps que le groupe s’est formé ?

Jérémy : Le groupe existe depuis 5 ans et la formation actuelle depuis 1 an. Au niveau de l’ambiance et de la cohérence du groupe, on est au top ! On essaie de faire davantage de dates en dehors de Toulouse. A Toulouse, on joue deux fois par trimestre, plus ou moins. Là on revient de Nîmes mais on a joué à Paris, Lille, à Lyon, Bordeaux…

Quels étaient les buts recherchés avec ce nouvel album ? Imposer son style en France, aller vers l’international ?

Jérémy : Bonne question ! Pour un premier album, c’était surtout pour mettre sur papier les chansons qui tournent depuis plusieurs années et d’autres plus récentes. Il y a eu des compositions qui ont été écrites un mois avant l’album. On ne mise pas trop sur l’aspect commercial. On avait envie d’avoir notre propre vinyle aussi ! On ne voulait pas que The Rusty Bells ne soit que du live.

J’ai vu dans une interview que le 28 juin était votre dernière date de la tournée et qu’il y avait un second album en préparation… Pouvez-vous nous en dire d’avantages sur celui-ci ? Aura-t-il le même style que Rebirth, à savoir garage/psychédélique ?

Jérémy : Oui, l’album où Thomas ne jouera pas ! (rires)

Fabien : Ca va défoncer, ça va être le meilleur album du monde ! (rires)

Jérémy : Le premier album nous a permis de pouvoir bosser parallèlement sur de nouvelles compositions pendant un an. On commence l’enregistrement du second album en Août. D’ailleurs, le 28 juin on jouera de nouvelles compositions ! Le second album va évoluer dans un sens un peu plus progressif…

Fabien : … il sera plus puissant, pas bourrin, mais puissant….

Jérémy : on cherche à évoluer forcément, histoire de proposer autre chose.

Vous avez sortie deux EP en 2009 et en 2010, c’était pour tester les morceaux avant de passer à l’étape album ?

Jérémy : Non, en fait le groupe était tout jeune le but était de tourner le plus possible. Il nous fallait des titres en versions physiques pour pouvoir démarcher les salles. Le groupe fonctionne « vraiment » depuis 2011, moment où le groupe a pris forme musicalement.

Le meilleur concert que vous avez fait en tant que spectateur ?

Thomas : Metallica aux Arènes de Nîmes !

Jérémy à Fabien : ce n’est pas celui où tu vas dans le public de The Rusty Bells et quand tu nous regarde ?! (rires)

Jérémy : pour Christophe je crois que c’est Toto qui l’a marqué en tant que batteur !

Fabien : Moi c’est Phil Collins ! (rires)

Thomas : le dernier qui arrive à la voiture est fan de Phil Collins !

 

Et la meilleure date avec The Rusty Bells ?

Jérémy : Il y en a eu plusieurs ! Récemment en Belgique, on a bien rigolé. Madame Moustache, c’est une belle salle.

Thomas : Mois je pense que c’est au Connexion Café !

Fabien : Ah oui pour la sortie de l’album, c’était vraiment bien !

Jérémy : Putain de belle soirée, le public était réceptif, les gens étaient vraiment cools. C’était le 22 mars au Connexion Café. Mais le 28 juin ça sera mieux ! Il faut venir ! (rire)

Le métier que vous n’auriez pas aimé faire

Jérémy : huissier de justice !

Fabien : oh non ça défoule ça ! Tu te lèves, t’es vénèr…

Thomas : Tu vas expulser une petite famille sympa… ! Non je rigole bien sûr… moi, je n’aimerais pas faire un métier dans le médical…

Fabien : Remplisseur de saucisse ! (rires)

Thomas : Je pense qu’on a du mal à faire autre chose que de la musique de manière générale.

Vous êtes plutôt Facebook ou twister ? Qui le gère ?

Thomas : Facebook !

Jérémy : Twitter ça devient de plus en plus à la mode !

Fabien : Je suis plutôt Caramail moi, je suis resté old school ! (rires)

Jérémy : Oui Facebook, mais on a un site aussi www.therustybells.com. Tout le monde est sur Facebook donc on fait un peu de la promotion dessus. le site est géré par nous et notre label Dead Bees.

Si vous étiez une chanson française ?

Thomas : Ce serait une chanson de Balavoine, mais je ne sais pas laquelle.

Jérémy : « Le dimanche en famille » de Serge Lama.

Fabien : Michel Sardou ! Non je rigole n’écris pas ça !

Thomas : En fait, pour moi ça serait plutôt Cabrel « C’est écrit ».

Un mot à dire aux lecteurs étudiants de Diselo qui font peut-être de la musique ?

Jérémy : on les encourage dans cette voie !

Thomas : Plus il y a de groupes à Toulouse, mieux c’est !

Jérémy : Merci pour l’interview et on se voit théoriquement le 28 juin ! Ça va être cool

Thomas : Ce n’est pas de la théorie c’est : VENEZ LE 28 ! On va s’amuser et passer un bon moment !

Fabien : Tu viens on va s’amuser tu entends ! (d’une voix autoritaire) (rires)

Jérémy : N’hésitez pas à écouter notre album ! Merci de votre soutien… !

Thomas : Oui,  sur Itunes, Deezer, Spotify, sur toutes les plateformes possibles et inimaginables !

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