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Demain à 20 h 30. Invités: The Deserteurs. Entrée gratuite. 8 rue Gabriel Péri. Métro Jaurès.

Formé en 2008, The Rusty Bells (comprendre les cloches rouillées) lance « Rebirth » son premier album demain soir au Connexion café et poursuit sa tournée des salles et bars rock d’Europe. Les quatre Toulousains pratiquent un rock old-school, vitaminé et dépoussiéré. Avec toute cette actu, Jérémy Andres, le guitariste-chanteur carillonne de bonheur.

Rusty Bells, comment vous est venu ce nom ?

L’adjectif rouillé fait référence à nos influences classiques en rock. Et les cloches, pour le son qu’elles produisent : sec et fort, assimilé à un rock américain. C’est ce qu’on aime donner sur scène.

Quelles sont vos influences, vos groupes de référence ?

Il y a le groupe Black Rebel Motorcycle Club, les américains de The Reigning Sound (rock garage) mais aussi Pink Floyd.

Certains disent de votre musique qu’elle fait nostalgique, surannée. Êtes-vous d’accord avec ça ?

C’est dans notre manière de composer. On plaque pas mal d’accords mineurs, et même si c’est plus énergique en live, la mélodie est parfois nostalgique. On utilise aussi, de façon modérée, un orgue des années soixante-dix.

Dans quelles conditions avez-vous enregistré ?

L’enregistrement s’est fait en septembre aux studios Atrock de Saint-Sauveur et la masterisation chez Antistatic. L’enregistrement s’est fait rapidement mais a pris un peu de retard parce que nous étions beaucoup en tournée entre-temps.

C’était important pour le groupe de lancer son premier album à Toulouse ?

Oui. Même si nous avons l’habitude de beaucoup tourner notamment à Paris, Toulouse est notre ville. notre label Dead Bees records est aussi à Toulouse.

www.therustybells.com

L’album Rebirth est disponible chez tous les disquaires toulousains, en vinyle, CD, et téléchargement légal.miami beachноутбуки купитьyandex рекламаlist of all social networksreal estate companies miamiчит