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ITW Efflorescence Culturelle

The Rusty BellsToulouse: un week-end très Rusty Bells

The Rusty Bells ou devrions nous dire « Les cloches rouillées » en français, sortent leur nouvel EP samedi prochain et ils vous le dévoileront scéniquement à l’occasion de la soirée organisée par leur label Dead Bees Record à Toulouse. A leur image, Dead Bees se veut être un label « authentique et sincère ». Et c’est bien l’impression première qui nous vient quand nous écoutons, oreilles à l’appui, le son rock psyché que délivrent les musiciens Toulousains. Formé en 2007 et forgé par une certaine expérience musicale, le groupe a aussi réfléchit à tout. Voyons par la symbolique des cloches, l’univers fantastique et mystique qu’elles représentent. Situé entre exorcisme, purification et tonnerre, le groupe se veut dans tous les cas, diabolique et possède une identité efficacement rock’n’roll !

Quel est le titre dans votre discographie que vous préférez de loin interpréter ?

Nous n’avons pas de préférence. On passe notre temps à réorchestrer tous nos titres. Cela nous permet de les redécouvrir régulièrement et de prendre toujours autant de plaisir avec le public.

Vous faites du rock plutôt comme les Beatles avec un John Lennon qui prône la paix dans « Imagine » ou plutôt comme les Stones qui font du rock rentre dedans ?

On aime les Stones pour leurs folies et les Beatles pour leurs albums. Mais, il faut reconnaître qu’à ce jour, nous sommes loin de nous identifier aux années 60-70.

Une scène que vous aimeriez faire ?

Après avoir était sollicités pour le Stade de France, rien ne peut nous sembler plus improbable. Les festivals Bonnaroo ou Glastonbury nous font rêver !

Qu’évoque pour vous votre prochain EP qui sort en octobre ?

Il s’agit de trois titres reflétant notre évolution vers une musique plus aérienne, plus colorée et plus galactique. On a changé notre manière de s’enregistrer. Nous avons notre propre studio. Cela nous procure la sensation d’être plus libres que jamais.

Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?

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ITW Saotw #270

#270 The Rusty Bells fêtent les 10 ans de Dead Bees Records

Dead Bees Records fête ses 10 ans le samedi 12 octobre prochain et a le plaisir de compter parmi ses convives le groupe The Rusty Bells. Ces derniers ont accepté de répondre à un petit questionnaire de Proust car ils avaient déjà répondu à une interview pour Some are on the way ; ce sont donc des habitués mais que j’apprécie énormément.

Une date ? Demain
Un livre ? L’Alchimiste
Une chanson ? Introspection – MGMT
Un album ? Wish You Were Here – Pink Floyd
Une période historique ? Le Futur
Un moment de la journée ? 3h du mat.
Un magazine ? Union
Un mot ? Glactique
Un plat ? Côte de Boeuf
Un sport ? Rollerblading
Un chiffre ? 3

Vous l’aurez compris, le samedi 12 octobre prochain, pour les toulousain(e)s ou habitants du Sud Ouest, il faut se rendre au Saint des Seins pour aller apprécier les concerts de trois groupes plutôt excellents ; The Rusty Bells, Junkyard Birds et Holy Spank. La soirée débute à 19h30 et même si c’est pas votre anniversaire l’entrée vous est offerte ; raison de plus pour ne pas se priver surtout qu’un cadeau ne se refuse pas !englishкупитьlanding pages designescort istanbulтехнология укладки паркетной доскисмотри

Newspaper – « Idem Mag » #64

Logo_IDEM-2011-copy« The Rusty Bells apporte leur contribution à ceux qui défendent une vraie scène rock en France talentueuse et inspirée comme  il se fait à l’étranger. Alors si les Toulousains étaient londoniens ou new-yorkais peut être seraient-ils acceuillis en France avec louanges et tapis rouge. On aime le penser alors on le leur déroule sans problème. Si vous aimez The Kills, The White Stripes ou Jim Jones Revue bref du rock un peu sale. » CN – Idem Mag #64блендер что приготовитьcheapbuy apartment miami beachадаптер переходникцветы дешево новосибирсканонимайзер

Newspaper – La Dépêche du Midi

LaDepeche

Le groupe de rock toulousain «The Rusty Bells» va-t-il jouer devant des milliers de spectateurs en première partie des deux concerts de Muse programmés les 21 et 22 juin prochains au Stade de France ?

C’est possible mais rien n’a officiellement été confirmé aux intéressés qui se trouvent, depuis quelques jours, dans une curieuse situation. Plusieurs sites spécialisés ont en effet annoncé la participation des «Rusty» aux méga concerts. Ils feraient partie des sélections qui monteraient sur scène avant les deux premières parties officielles, Paramore et Biffy Cliro. «C’est possible», avance Jérémy Andrès, le chanteur et guitariste, contacté hier. Possible car le groupe a bien postulé. «Mais nous n’avons eu aucune réponse de la production à ce jour», ajoute le Toulousain dans l’expectative. Les musiciens ont beau tenter d’appeler les organisateurs, ils n’avaient, hier, toujours pas eu de réponse, peut-être en raison d’une semaine tronquée par le 1er-Mai férié. Mais ils l’espèrent incessamment… Pour l’heure, le trio rock, formé de Jérémy, Christophe et Thomas, préfère donc patienter un petit peu avant de savourer la bonne nouvelle. Pour le groupe, qui a joué dans bon nombre de salles toulousaines et s’est déjà produit lors de toute une série de premières parties (Ghinzu, Luke, Lescop…), cette première partie serait un sérieux coup de pouce et une sacrée expérience…

La Dépêche du Midi

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ITW Clac Magazine #5

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Qui sont les Rusty Bells et quand le groupe s’est-il formé ?

Il s’agit d’un groupe de rock psychédélique issu de Toulouse. Le groupe existe depuis 5

années. Mais la formation définitive date d’un an et demi. Nous sommes quatre : Jérémy

(Chant, Guitare), Christophe (Batterie), Fabien (Basse), Thomas (Orgue). C’est toujours

délicat de parler d’influence mais pour situer : cela va de Pink Floyd à Jack White en passant

par Reigning Sound et Dan Sartain.

 

Quel lien avez-vous avec le roller ?

Nous sommes 3 musiciens sur 4 à pratiquer le roller depuis plus d’une dizaine d’années. On connaît les mêmes personnes, les mêmes codes, mais aussi les mêmes galères comme les road-trips, le fise, taryf … Ca créer des liens forts comme tu peux l’imaginer. La musique à toujours pris une place importante dans le monde du roller, que ce soit dans les vidéos ou dans le besoin que l’on a de skater avec un ipod dans les oreilles.

Pourquoi avoir choisis d’enregistrer votre premier album sur vinyle ?

C’est un projet qui nous tenait tous vraiment à cœur. On a grandi avec les vinyles de nos parents. C’est un objet fascinant tant pour son esthétique que son rendu sonore. On est appuyés par un label qui fonctionne aussi dans ce sens. Pierre Priot du label Dead Bees Records a tenu à ce que nous soyons également disponibles sur plusieurs supports, à savoir : sur Cd, sur Mp3 et sur Vinyle. Un second serait en préparation d’après ce qui se dit. Simple rumeur ou vous travaillez actuellement dessus ?

On passe notre temps à composer, jouer, arranger, s’enregistrer, écouter, trier. Pour au final s’entendre sur des projets plus constructifs. On a la chance d’avoir notre propre studio d’enregistrement (Studio Arezzo à St Sauveur 31). On en profite le plus possible.

Actuellement, nous préparons un 5 titres pour janvier 2013.

À part sur Toulouse, où pourra-t-on vous voir jouer cette année ?

A l’heure actuelle, difficile de répondre. J’ai quelques villes en tête comme Lille, Paris, Angers etc. Mais, le plus simple est de consulter régulièrement notre site Internet. Les dates surgissent au fur et à mesure.

Un edit de roller circulait il y a peu de temps sur Internet avec comme bande son l’un de vos titres, est-ce une volonté de votre part afin de vous rapprocher du milieu ou pas du tout ?

Je suppose que tu fais référence à l’edit de Guillaume Le Gentil pour Rollerblade International. Le roller fait parti de notre vie. On est très proche de ce milieu depuis très longtemps. Guillaume est venu nous voir en concert à Bordeaux. A la fin du concert, il a tenu à prendre une musique des Rusty pour un edit. Cela nous a fait très plaisir.

Où peut on trouver votre musique sur le web ?

On peut la trouver un peu partout (Itunes, Deezer, SoundCloud, Facebook …), mais le plus simple est de se rendre sur notre site Internet (www.therustybells.com). Merci pour cette interview.

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ITW Albumrock.net

Loin d’être des cloches et encore moins d’être rouillés, les trois membres de Rusty Bells mènent leur barque comme ils l’entendent dans le monde rock installé dans le paysage français.
Situés à Toulouse, Jérémy, Christophe et Thomas sortent en 2012 leur premier album, « Rebirth » après deux EP et quelques belles premières parties (Jim Jones Revue,, Bob & Lisa (US), Ringo Deathstarr (US), Tex Napalm, Le Cercle, Gaz Gaz, Julien Doré, Ghinzu, Luke, Lescop & Asyl, Richard Kolinka, Oli le Baron … )

Loin du soleil du sud, j’ai posé quelques questions aux membres de Rusty Bells, quelques mois après la sortie de leur opus.

 

Le groupe est né de la rencontre entre Christophe et Jérémy. Quelles étaient vos envies quand vous avez lancé ce projet ?

Notre désir était de monter un projet qui nous correspondait. On ne voulait pas s’imposer de frontières, mais s’ouvrir le plus possible aux diverses musiques que nous apprécions.Comment se sont passées les premières dates ? Bars ?On jouait dans les cafés concert de notre ville. On partageait l’affiche avec des groupes qui venaient aussi de se créer. On est tous devenus rapidement potes (Red Lips, Rodeo Darlings, Jauhn Lemon, Existentialists, Meltintone etc). Aujourd’hui la plupart de ces musiciens ont des nouveaux groupes.

Et justement, vous souvenez vous de votre premier concert ensemble ? Si oui, quel souvenir en reste-t-il ?

C’était dans une cave au centre ville de Toulouse. On était évidement très stressé avant de monter sur scène. Puis, une fois le public réceptif, on a réussi à canaliser notre énergie.

Vous chantez en anglais. Est-ce que vous jugez le rock français moins percutant ? Ou trop accessible ?

On apprécie certains auteurs français comme Lama, Brel, Berger, Cabrel. Mais, notre héritage rock’n’roll nous ramène instinctivement à l’écriture anglophone.

Vous êtes sous la houlette de Dead Bees Records, votre label. C’est la première signature chez un label j’imagine ? Qu’est ce que ça change pour vous ? La motivation est elle plus importante qu’avant, ou est ce que vous avancez toujours de la même façon ? C’est effectivement notre première signature. Notre motivation au travail n’a jamais faibli. On a la chance d’avoir le studio Arezzo à notre disposition et le privilège d’être soutenu par Dead Bees Records. On se sent libre dans nos choix et notre vision artistique. On ne pouvait pas espérer mieux.Quand avez-vous senti que l’aventure The Rusty Bells était vraiment lancée ?

On a eu ce ressentit à la sortie de notre premier album « Rebirth » chez Dead Bees Records.

« Rebirth » = home made ? Vous avez enregistré dans quelles conditions ? Petit à petit ou alors sur une période particulière ?

Il a été fait en quelques jours avec les instruments enregistrés en live. On souhaitait rendre un travail brut pour notre premier album.

Quand vous avez eu votre premier album entre les mains, que vous êtes vous dit ? ‘’Enfin !’’, ou plutôt ‘’ça fait peur’’ ?

Ca fait peur ! Enfin !

‘’Rebirth’’, le titre de l’album, est synonyme d’un nouveau souffle d’un point de vu personnel ? Quelle est la signification pour vous, de ce titre ?

C’est effectivement l’idée d’un nouveau souffle, d’une alchimie naissante. La chance de pouvoir enfin sortir notre vinyle chez un bon label. C’était un projet qui nous tenait à cœur.

Comment Rusty Bells sont arrivés à ce qu’ils sont aujourd’hui ? Dans la formation, le style, l’envie ..

Il n’y a pas eu de casting sur nos niveaux techniques mais sur une réactivité artistique. On est tout simplement de vrais amis. On se partage beaucoup de musique. Grâce à Internet, chaque jour, on sait ce que l’autre à écouter. Ca nous permet de comprendre l’état d’esprit de chacun et de faciliter l’évolution de notre musique. Nous essayons toujours de surprendre.
C’est l’histoire d’une vie je pense. Une succession de rencontres, d’ouverture, d’apprentissage.

Vous êtes plusieurs à composer, est ce que vous avez les mêmes influences et envies musicales, ou est ce qu’il faut s’accorder et s’adapter ?

La cohérence est amenée par Jérémy. Dans la mesure où il est compositeur ou co-compositeur de chacun des titres.

Vos derniers coups de coeurs musicaux (attention, on ne se cache pas derrière un classique pour ne pas réfléchir à la question J )?

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