Newspaper – Songazine – The Rusty Bells

Juin 10, 2017

NOUVEAU VORTEX DANS L’UNIVERS DE THE RUSTY BELLS

RUN TO STAY INSIDE : le nouveau clip du groupe « synthé-rock » toulousain est sorti !

Voilà un trip dans les étoiles avec les pieds sur Terre !

Un trip plus que jamais métaphysique, puisque les paroles et les images nous rappellent que nous sommes, tel ce cheval errant, condamné inlassablement à tourner en rond, seul, dans un univers désespérément vide, en attendant la mort.

Morbide ?

Non ! Car la musique reste toujours entraînante et une fois les premières mesures franchies, voix et instruments s’embrasent et se mêlent dans un lyrisme assumé. Pendant que les nappes de synthé planent, que les cordes de la guitare martèlent, le duo envoie son refrain tragique.

Résonnent alors dans notre corps, et pour longtemps encore, les rythmes entêtants de cette chanson sombre et magnétique.

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Les Oreilles Curieuses – Album Reviews – INFINITY by THE RUSTY BELLS

Juin 10, 2017

The Rusty Bells – Infinity

Pour faire court, The Rusty Bells se démarque de la concurrence avec ce premier disque aussi bien spatial que spécial. Infinity vous fera oublier votre quotidien pendant 36 minutes tandis que les deux savants nous composent un western musical bien galactique comme il le faut. Paré au décollage ?

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Playlist COCY – « Run to Stay Inside » – THE RUSTY BELLS

Juin 10, 2017

Newspaper – Opus Musiques – THE RUSTY BELLS

Juin 10, 2017

The Rusty Bells, sur le chemin de l’infini !

Après avoir sorti son premier EP enjoYourself en novembre, le duo rock toulousain The Rusty Bells franchit une nouvelle étape : c’est leur tout premier album que les garçons viennent de sortir au printemps 2017. 

Pour cet opus, nommé Infinity, ils ont travaillé en collaboration avec Omoh, qui était en première partie de Julien Doré il y a quelques semaines à Toulouse. 10 titres où Jérémy et Christophe livrent un son rock aux arrangements spatiaux. On y redécouvre en début d’écoute des morceaux que les fans de la première heure connaissent déjà (Red Sud, Run To Stay Inside, avant de se laisser emporter par des nouvelles pistes dont la très entrainante Ghost et l’énergique Drop Your Eyes.

Le duo sera en concert samedi 10 juin au Festival Moove les Minimes à Toulouse, le 1er juillet pour Rock ton Bled à Montastruc et le 4 juillet à Pause Guitare à Albi. On vous laisse vous plonger dans leur univers avec ce très joli clip, Run To Stay Inside.

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Playlist – Pop-Rock The News / THE RUSTY BELLS

Juin 5, 2017

w/ The Rolling Stones, Las Aves, Muse, Imagine Dragons, Red Hot Chili Peppers, Coldplay ..

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THE RUSTY BELLS – ITW by WOM

Juin 5, 2017

« Ça faisait longtemps que je ne vous avais pas publié d’interview ici. Il est temps de remédier à ça.

Aujourd’hui, ce sont les deux garçons toulousains de The Rusty Bells qui passent sous le feu de mes questions. Ils ont sorti hier le clip de Run To Stay Inside, un vrai coup de coeur. Du coup, j’ai voulu en apprendre plus sur Jérémy et Christophe. Rencontre.

• Salut The Rusty Bells! C’est un plaisir de vous recevoir, moi qui vous suis depuis quelques temps! Pouvez-vous vous présenter?

Nous sommes un duo de rock galactique issue de la ville de Toulouse (Capitale de l’aérospatiale).
Christophe est à la batterie et aux machines.
Jérémy est au chant, à la guitare et aux claviers.

• Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire de la musique?

-Jérémy: Je pense que c’est Jimmy Page. J’étais ado à l’époque. J’écoutais beaucoup de rock 70’s et de blues. C’est à ce moment-là que j’ai voulu apprendre la guitare.

-Chris: L’album Kick d’INXS.

• Comment vous êtes-vous retrouvés à fonder ce projet tous les deux?

On s’est rencontrés sur un autre projet de pop. On ne savait pas vraiment ce qu’on voulait faire à l’époque, ni comment le faire. On a écumé différentes formations ensemble en passant par des styles plus variés comme du blues/rock, du garage/rock.
On n’a pas perdu cette énergie sur nos concerts!

• Quelles sont vos inspirations musicales?

Elles sont très variées! Pour ne pas perdre les gens, on va dire: Danger Mouse, Lemon Twigs, MGMT, Archive, Of Montreal, Metronomy, Justice, Black Keys, Ennio Morricone.

• Vous avez sorti hier un clip pour le morceau Run To Stay Inside. Pouvez-vous raconter l’origine et l’histoire de cette chanson?

« Run To Stay Inside » aborde le thème du manque d’ouverture d’esprit de chacun d’entre nous. Elle a été écrite dans un moment de remise en question artistique.
Cette chanson a marqué le point de départ de notre album Infinity.
C’est aussi à partir de ce titre que certains programmateurs de salles importantes nous ont fait confiance.
C’est un peu notre chanson porte-bonheur!

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5 QUESTIONS & PLAYLIST – SOUL KITCHEN

Mai 4, 2017

SK* a demandé à une vingtaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour de The Rusty Bells. Le duo toulousain a sorti son premier album, Infinity le 3 mars sur le label Dead Bees Records.

The Rusty Bells en cinq questions

Votre souvenir de concert ?

Brian Jonestown Massacre ! Ce groupe m’a personnellement donné envie de monter sur scène. On se retrouve à faire leur première partie à Besançon. C’était magique ! (Jérémy)

Votre rencontre en tournée ?

Clément Vasseur ! C’était lors de notre résidence dans le programme de la marque Converse. Le courant est directement passé. On est sur la même longueur d’onde. C’est notre ingénieur du son live maintenant avec Laurent Boulhabel (Kid Wise).

The Rusty Bells – Ghost

Une panne au milieu de rien dans le massif central avec un concert prévu le soir à Lyon.
Du froid, de la neige, aucun téléphone qui capte et rien autour.

Votre prochain album ?

Le 3 mars sortira notre album Infinity. On a eu la chance de travailler avec une équipe formidable (OMOH, Jean-Michel Cros et Ayumu Matsuo). On hâte de vous le faire découvrir !

Votre prochain rêve ?

On l’a frôlé avec la marque Converse : L’Olympia !

The Rusty Bells – Red Sun

En écoute avec The Rusty Bells

Les Inrockuptibles, ELLE, L’Est-Eclair – « Disquaire Days »

Mai 4, 2017

Il n’aura pas fallu longtemps au Disquaire Day pour s’imposer comme un événement musical d’envergure, prisé des mélomanes. Initié en 2011 en France par le Calif, il a très vite trouvé ses adeptes et réussi son pari initial : offrir une vitrine et soutenir les disquaires indépendants. Parrainée cette année par la chanteuse américaine Annie Clark alias Saint-Vincent, la manifestation met à l’honneur le vinyle. Un objet remis au goût du jour et pas seulement pour les collectionneurs.

De Bowie à Santana en passant par Moondog

Pour l’occasion, plus de deux cents disques sortiront samedi, en petite série et seront distribués chez les disquaires indépendants. À Troyes, c’est à The Message, le seul indépendant dans un rayon de 150 km que ça se passera. De 10 h à minuit, toute l’équipe, Dimitri Khodja en tête seront sur le pont pour accueillir au mieux les visiteurs. «  C’est le seul jour de l’année où il y a la queue avant l’ouverture. C’est notre troisième participation et on touche de plus en plus de monde tous les ans. Ça va du fan de Johnny au collectionneur plus spécialisé  » Les fins connaisseurs et les plus prévoyants savent que s’ils veulent trouver leur bonheur, il faut être là dès l’ouverture pour dénicher la perle rare. L’offre se veut une nouvelle fois riche et diversifiée avec des rééditions vintages, des versions inédites.

Un engouement pour le vinyle

De Moondog à David Bowie avec la sortie en vinyle du maxi No Plan, contenant ses ultimes enregistrements studios en passant par le maxi 45 tours Karaboudjan de Mustang, Diana Ross, Lou Reed (Perfect night : Live in London), Santana (Live at the Woodstock Music & Art Fair), Serge Gainsbourg (Équateur mini ep), Iggy Pop, Pink Floyd, The Cars ou encore Trust… Il y en aura vraiment pour tous les goûts et toutes les bourses. «  Ça démarre à 8 € pour certains mais ça peut être multiplié par cinq ou dix par la suite car certains revendent ensuite leur acquisition sur les marchés parallèles. »

Cet engouement pour le vinyle, Dimitri Khodja en est le premier témoin. «  Il y a de plus en plus de gens qui s’y remettent. Beaucoup récupèrent les collections des parents voire des grands-parents, il y a un côté transmission et je crois aussi qu’avec le vinyle l’écoute est plus lente. On prend le temps de se poser, de mettre le vinyle sur la platine. » Tout un rituel dont jeunes et moins jeunes, à l’ère de la dématérialisation, sont redevenus friands. «  Outre le grain, c’est ce qui fait le charme. C’est une autre consommation de la musique. Aujourd’hui, de plus en plus de disquaires ouvrent alors qu’ils ont fermé au milieu des années 90, on revient à l’objet. » Et pour prolonger l’aventure, The Message proposera quatre shows case. Avec The Disquaire Day, la musique est plus que bonne.

Disquaire Day, samedi 22 avril de 10 h à minuit à The Message, place Audiffred à Troyes. Dès 16 h, quatre shows case avec En attendant Ana (garage, psyché girly), The Rusty Bells (un groupe toulousain qui a participé au Printemps de Bourges), L’orchidée cosmique et Holy Blobfish (groupe situé entre Reims et Troyes qui fait de l’Indy Pop).

 ELLE – Avril 2017