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ITW – « Radio Fajet Nancy »
Pourquoi avoir donné ce nom à votre groupe ? A quoi fait-il référence ?
La formule « cloches rouillées » nous est venue en tête instinctivement. On voulait faire passer une image de puissance et de musique corrosive.
Le groupe a t’il été formé à partir de relations amicales ou bien il s’agit uniquement de relations professionnels ?
Le groupe a été formé à partir de relations amicales.
Néanmoins, nous nous efforçons d’être strictement professionnels lorsque nous nous mettons au travail.
Le groupe est composé de trois artistes ? Que font-ils au sein du groupe ?
Jérémy Andrès est au poste de chanteur/guitariste, Thomas Capdevielle est au poste de claviériste/choriste, Christophe Bureau est poste de batteur/choriste.
Jérémy est le principal compositeur mais les arrangements des morceaux sont effectués par tous les membres du groupe.
Certaines compositions ont été faites en duo, avec Thomas Capdevielle sur le titre Scarecrow et avec Fabien Labarbe sur le titre Pony’s Black Ideas.
Comment avez vous commencez dans la musique ? Et quand ?
Jérémy s’est mis à la guitare après avoir épluché les disques des Pink Floyd et des Led Zeppelin.
Il a toujours vu en Thomas l’âme d’un musicien. C’est pourquoi il a tenté de le convaincre de se mettre à la musique il y a deux, trois ans. Il a accepté.
Christophe s’est mis à la batterie pendant l’adolescence. Ses parents et ses voisins ne supportaient pas le bruit qu’engendrait sa frappe. Il a été contraint d’arrêter et a fini par reprendre quelques années plus tard.
Qui rédige les textes de vos chansons ?
Jérémy rédige environ 95% des textes.
Les paroles de Fumes Of Fear ont été écrites par Maud Lanau et les paroles de Red Sun par Eliphaaz.
Sur quoi se base votre communication ?
Nous annonçons notre actualité sur notre site Internet et sur Facebook. On se pose pas plus de question que ça. Nous avons dans notre entourage des personnes plus compétentes qui se les posent pour nous comme Pierre Priot ou Jérémy Boy.
A propos de votre label ? Votre producteur ?
Le label Dead Bees Records nous soutient à 100% dans nos choix artistiques.
C’est une chance pour nous de travailler avec Pierre Priot.
Le catalogue du label contient d’excellents artistes comme : Brian Jonestown Massacre, Junkyard Birds, My Imaginary Loves, The Chemistry Set, Moloko Velocet, Recife …
Comment définirait vous votre style musicale ?
Nous essayons de déplacer les frontières des styles.
Je dirais que notre musique s’inscrit dans une lignée rock, psychédélique et populaire.
Nous désirons sans cesse surprendre sur l’évolution de notre musique. C’est notre moteur.
Déjà deux EP et un album, que pouvez vous dire à ce sujet ?
Les premières années, comme tous les groupes naissants, nous avons dû enregistrer notre musique pour pouvoir jouer dans des salles de concerts.
Nous considérons que notre musique s’est réellement affirmée à partir de notre premier album sortie chez Dead Bees Records en 2012 : « Rebirth ».
D’ou provient votre inspiration ? Avez vous des artistes qui vous inspirent ?
Nous en avons énormément. Nous fonctionnons à l’affectif et à l’humeur du moment.
Par exemple, en ce moment nous écoutons Jim Croce, Anthony Hamilton, Pink Floyd, The Kills, MGMT, BRMC …
Partez vous régulièrement en tournée ? Quand ? Ou ? Quelle souvenir cette expérience vous laisse t’elle ?
Nous partons le plus possible en tournée. Nous avons joué à Paris, Lille, Amiens, Angers, Nîmes, Montpellier, Toulouse, Reims, Rouen, Poitiers, Bordeaux, Brussels, Lyon, Marseille …
Les tournées nous laissent que des bons souvenirs. Elles resserrent les liens d’amitiés et l’envie de réguler nos vies autour de la musique.
Où peut on vous retrouver ? Concert a venir ? Site internet ?
Nous jouons le 27 février au Paris Poppins à Paris, le 28 février au Stakhanov à Nantes, le 2 mars à la dame de Canton à Paris.
D’autres dates sont affichés sur notre site Internet : www.therustybells.com
Notre musique est disponible sur deezer, Itunes, fnac …
Vous pouvez aussi nous retrouver sur Facebook et You Tube.
Quels sont vos projets pour la suite ? Album ? Tournée ?
Nous repartons sur les routes fin février/début mars et nous rentrons en studio en avril pour enregistrer cinq nouveaux titres.
Quelque chose à ajouter ?
Merci pour ton accueil.
Newspaper – « Radio Fajet Nancy »
« Composé de trois rockeurs toulousains : Jérémy à la guitare voix, Christophe à la batterie et aux chœurs et Thomas au poste de claviériste et choriste, les Rusty Bells débarquent avec un Rock psychédélique qui devrait laisser des traces !
Il faut savoir que « Rusty Bells » se traduit en français par « Les cloches rouillés » et c’est certainement pour évoquer la puissance et la virulence qui se dégage de leur musique. Et oui, nos trois cloches rouillés sonnent avec beaucoup de justesse !
Et c’est en Mars 2012 que les Rusty Bells font sonner leurs cloches avec la sortie de leur premier album nommé « Rebirth » signé par le label Dread Bees Records. Il s’agit ici d’un album enregistré en live, ce qui de sur croix, met en avant la pureté et l’authenticité de leur musique. On retrouve cet album en CD, MP3 mais aussi en vinyle, petit clin d’œil aux années 60 !
Dans cet album, on découvre, dès les premiers morceaux, un rock enivrant, rythmé par une voix éraillée sur des accords décapants. Les Rusty Bells nous entrainent là ou les limites du rock nous sont habituellement imposés. Voulant déplacer les frontières des différents styles musicaux, les Rusty Bells nous surprennent sans cesse sur l’évolution de leur musique. Quelque fois rapide et efficace avec « From bad to worse » ou encore mélancolique avec « nothing is right » le groupe toulousain à plus d’une corde à sa guitare !
Il faut savoir que les Rusty Bells repartiront sur les routes fin Février début Mars. Ils seront a Paris le 27 Février ou encore à Nantes le 28.
Vous pouvez aussi les retrouver sur facebook, sur youtube, sur deezer, sur la fnac ou tout simplement sur leur site internet www.therustybells.com. » Alia Doukalu
ITW – « Amalgame Musical »
Nous vous présentions leur album « Rebirth » il y a quelques semaines sur le Blog des Rédacteurs, il s’agit de The Rusty Bells.
Les quatre musiciens s’inspirent à la fois de la scène actuelle, et puisent
en même temps dans les vieux sons des années 60. Un mélange efficace et juste, un rock décapant, que les quatre cloches firent résonner sur leur album et lors de leur tournée en automne 2012.
Petit exorcisme, avec leur interview !
Bonjour, pouvez-vous vous présenter pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
Nous sommes les Rusty Bells. Nous venons de Toulouse et nous jouons un rock psychédélique.
Racontez-nous un peu l’histoire du groupe ; comment s’est-il créé, comment vous êtes-vous rencontrés ?
Il y quelques années de cela, Jérémy (guitariste/chanteur) et Christophe (batteur) jouaient ensemble dans un groupe de pop alternative. En 2008, ils ont décidé de créer un groupe qui correspondrait davantage à leur univers. Après plusieurs changements de formation, Thomas est entrée dans l’aventure au poste d’organiste. Pourquoi avoir choisi ce nom ? La formule « cloches rouillées » nous est venue en tête instinctivement. On voulait faire passer une image de puissance et de musique corrosive.
Dans votre description, nous pouvons lire « Le bruit des cloches à un pouvoir d’exorcisme et de purification. Dans certains pays, il est même associé à celui du tonnerre. Nos quatre acolytes colportent cette croyance.». C’est votre marque de fabrique, ce qui fait votre univers particulier ?
Nous essayons de proposer une musique dévastatrice, universelle et envoûtante.
Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’écouter ce que vous faites, pouvez-vous nous décrire votre style, vos influences, vos inspirations ? Nous écoutons beaucoup de musiques différentes. On essaye d’ouvrir le plus possible notre champ de vision. Je dirai qu’en ce moment nos ipods contiennent : du Pink Floyd, du Michael Jackson, du Jack White, du Willy Moon, du Dire Straits, du Tame Impala, du Dan Sartain, du BRMC, du Reigning Sounds … Nous sommes aussi influencés par un univers cinématographique, avec des films comme : Scorpio, Le Cercle Rouge, Carlito’s Way, les Affranchis, Le Clan des Siciliens … Mais aussi des villes qui ont une vision artistique dans leur architecture (Barcelone par exemple).
Comment se passe la composition avec The Rusty Bells ? Accordez-vous autant d’importance aux textes et aux mélodies ?
Jérémy est le principal compositeur du groupe. Il présente généralement la mélodie et son accompagnement. S’en suit alors un travail commun d’arrangement. C’est seulement après validation de ce travail que les textes apparaissent. L’anglais n’est pas notre langue maternelle. C’est pourquoi nous prenons plus de temps pour écrire nos paroles. On revient sans cesse dessus, jusqu’à satisfaction. En adoptant ce processus, nous essayons de ne rien négliger.
Vous avez signé avec le label Dead Bees Records (premier label français de Brian Jonestownn Massacre). Parlez-nous de cette rencontre ?
C’est une relation de travail basée sur la confiance. Pierre Priot, patron du label « Dead Bees Records » appuis notre travail. Il nous laisse un total contrôle sur notre musique. C’est un pacte qui nous convient parfaitement. Courant 2012, vous avez sorti votre premier album « Rebirth » sous forme de vinyle (entre autres). Un rêve de gosses ? Un clin d’œil aux années 60/70 ? C’était effectivement un rêve de gosses et un clin d’oeil aux années 60/70. On pense que l’effondrement de l’industrie du disques s’explique principalement par le manque d’intérêt à l’objet physique que proposent les nouveaux supports (CD, MP3). A l’heure actuelle, on vend plus de vinyles que de CDs. C’est très significatif, je pense. Comment s’est passé l’enregistrement de cet album très rock ? On voulait mettre à plat nos chansons de manière spontanée. On s’est branché et on a joué. C’est ce qu’on peut appeler un enregistrement live. C’était un peu risqué. Mais pour un premier album, il était important pour nous de procéder ainsi.
L’aventure s’est très bien passée. Nous avons effectué beaucoup de tournées ces dernières années, mais je dois avouer que celle-ci était vraiment rock’n’roll. On a énormément fait la fête et on s’est beaucoup amusés sur scène et avec le public.
Newspaper « Un Disque Un Jour »
Aaaaah Toulouse, la ville rose, le port Saint Sauveur, sa place du Capitole, les Carmes et sa cathédrale Saint Étienne, et puis, et puis ses musiciens. Et dans la faune musicale toulousaine, se trouvent les Rusty Bells. Formés en 2007, ils auront mis 5 ans pour livrer leur premier album « Rebirth » (Renaissance), un album muri tout au long de leur parcours scénique. Sur scène, les Rusty Bells incarnent toute la puissance d’un blues psychédélique mélangé à un rock authentique. Leurs influences se trouvent là où Screamin’ Jay Hawkins a puisé les siennes, là bas dans l’Ohio ou dans l’Alabama. Signés chez Dead Bees Records (où on retrouve l’excellent Dan Alfresco), les Rusty Bells ont gardé cette énergie qui les caractérise et tant qu’à rester authentiques, ils s’offrent le luxe de sortir une édition vinyl de leur album, où on retrouvera des titres chauds bouillants comme « Burning Night », « Fumes of Fear » ou « My Steel Brother ».
Newspaper « Born In Toulouse »
Rebirth – The Rusty Bells
Après 5 ans de formation, les Rusty Bells sortent (enfin) leur tout premier album (en CD, Mp3 et Vinyle, c’est pas beau?). Le méfait s’intitule simplement Rebirth.
Étrange, penserez-vous, une renaissance pour un premier album ?!
Ce qu’il faut savoir sur les cloches rouillées made in Toulouse, c’est qu’elles ont traversé bien des choses depuis ce mois de Février 2006. Le line-up a changé. De nombreuses fois. Des filles et des garçons puis des garçons et des garçons.
Mais le « rusty spirit » est resté le même.
Et on le retrouve sur les 10 morceaux que comporte Rebirth. Un côté ricain, des guitares bavardes, une voix éraillée.
« Drop your Eyes » qui ouvre l’album aurait pu être chantée par VV et Hotel. Une ambiance dionysienne s’installe « Because of him ». L’énergie est là, la mélancolie aussi (« My Steel Brother »).
Les Rusty Bells nous font voyager à travers les âges et les mondes. Mais le ticket de départ est quelque peu difficile à obtenir. Il faut plusieurs écoutes pour arriver à vraiment pénétrer l’univers rugueux du groupe.
Mais de un peu frustré, on passe à conquit.
ITW bonus « Some Are On The Way »
The Rusty Bells est un groupe que nous connaissons déjà bien sur Some are on the way, et ils reviennent avec quelques actualités qui devraient vous faire plaisir ! Alors si vous êtes sur Paris, n’hésitez pas à aller les voir à la Dame de Canton le 2 décembre. Et pour celles et ceux qui ne pourraient pas aller à cette date, ne vous inquiétez pas, ils ont pensé à vous ; soyez attentifs, d’autres dates vont tomber sur leur site officiel => www.therustybells.com
Une date : 09 mai 2003 naissance d’Antoine le fils de Christophe (batteur)
Un livre : Pink Floyd : L’histoire selon Nick Mason
Une chanson : Telegraph Road de Dire Straits
Une période historique : Le futur
Un moment de la journée : Matin
Magazine : Géo
Une expression : Mettre de l’eau dans son vin
Un mot : Enclencher
Un plat : Raclette
Et dernière info sur le groupe, ils m’ont dit qu’ils prévoyaient de sortir un EP 5 titres courant 2013 !
ITW « Capitole Live »
Pouvez-vous vous présenter, chacun, pour celles et ceux qui ne vous connaissent pas encore !?
Nous sommes un quatuor toulousain de rock psyché : Jérémy Andrès au chant et à la guitare, Christophe Bureau à la batterie, Thomas Capdevielle à l’orgue et Fabien Labarbe à la basse.
D’où venez-vous chacun ?
On a eu des groupes communs les uns avec les autres. Mais un jour, nous avons souhaité construire un projet plus sérieux ensemble. Un projet qui nous ressemblerait plus. L’initiative a été prise par Christophe et moi-même (Jérémy). Nous avons été rejoint par Fabien et Thomas, un peu plus tard.
Quelles sont vos inspirations musicales ?
Je pense que le groupe est composé de quatre fortes personnalités et cela se ressent dans notre musique. On a tous des inspirations communes et différentes.
Je suis le principal compositeur. Je dessine la ligne directrice par mon écriture et mes idées, mais tout le travail d’arrangement se fait ensemble.
J’imagine qu’en écoutant notre musique, on peut retrouver des influences diverses et variées comme : Pink Floyd, Jack White, Dire Straits, Willy Moon, Reigning Sound, Dan Sartain, Michael Jackson, Arthur Lee, 22-20’s, Black Rebel Motorcycle Club, Flat Duo Jets etc.
Quel est votre parcours ?
Le groupe « The Rusty Bells » existe depuis cinq années environ.
Après plus de 130 dates à travers toute la France et la Belgique, nous venons de sortir notre premier album chez Dead Bees Records (Brian Jonestown Massacre, Junkyard Birds, Moloko Velocet etc). Celui-ci est disponible au format vinyle, cd et mp3 sur toutes les plateformes de téléchargement légal.
Nous avons eu la chance de partager nos scènes avec des artistes prestigieux comme : Jim Jones Revue (RU), Sky Parade (US), Left Lane Cruiser (US), Skip Jensen Group (CAN), Ghinzu (BE) etc.
Votre nouvel album s’appelle Rebirth, pourquoi ? Une tournée est prévue, on peut en savoir plus (où et quand) ?
Cet album était le moyen pour nous de mettre à plat dix chansons que nous interprétions depuis plusieurs années. On éprouvait ce besoin pour pouvoir se sentir plus libre. D’où l’idée d’une renaissance « Rebirth » en anglais.
Effectivement, nous repartons sur les routes cet automne.
Nous passerons cette fois-ci par Toulouse, Cazillac, Angers, Lille, Maubeuge, Lavaur et nous finirons par le Bus Palladium à Paris. Toutes nos dates sont disponibles sur notre site : www.therustybells.com
Quel est votre devise ?
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Maintenant notre question culte ! A chacun d’entre vous, si vous étiez une chanteuse, ce serait qui… et pourquoi !?
Thomas Capdevielle : « Joan Jet pour la gloire du Rock’n’roll ».
Christophe Bureau : « Aretha Franklin, pour sa voix et son énergie ».
Fabien Labarbe : « PJ Harvey pour le morceau Crawl Home avec les Desert Sessions ; et parce qu’elle a ce don pour innover sur chaque album ».
Jérémy Andrès : « Patti Smith pour l’avoir vu récemment en concert. C’était vraiment excellent. Son vinyl Easter tourne en boucle à la maison. »
The Rusty Bells « Rebirth », ambiance psyché’n’roll !
Pas de doute, on est en présence ici d’un album de rock, d’un vrai album de rock : pas de fioritures, les fondamentaux sont bien en place, des riffs de guitare sombres à souhait, un clavier et une rythmique qui nous rappellent parfois la bande à Jim Morrisson (les Doors)… et l’ensemble avec un savant mélange de blues !
Une écoute les yeux fermés et on est embarqué dans un road movie psychédélique qui nous marque au fer rouge !
Alors que demander de plus ? Uniquement d’aller les voir sur scène !
« Rebirth » Album Review – « Amalgame Musical »
Pour nos quatre toulousains, le bruit des cloches a un pouvoir d’exorcisme, de purification, et c’est, tout naturellement, à travers leur musique qu’ils ont décidé de nous initier. En mars 2012, Jeremy (voix/guitare), Christophe (batterie), Fabien (basse/guitare/chœurs) et Thomas (orgue/chœurs) dérouillent les cloches avec leur premier album « Rebirth », signé sous le label Dead Bees Records (Brian Jonestown Massacre, The Black Angels,… ).
Si leur nom se traduit, en français, par « Les cloches rouillées », le son qui s’en dégage ne l’est pas pour autant et se manifeste plutôt par un rock psychédélique décapant qui modernise les sonorités des sixties et seventies, tout en apportant une touche assez visionnaire aux mélodies. Un album qui ravira certainement les amoureux de la jeune scène actuelle et les éternels nostalgiques des 60’s.
« From bad to worse » ouvre la cérémonie, les musiciens dégainent leurs instruments et nous entrainent directement dans une chevauchée sans nom, rapide, et nous délivrent un rock assez classique d’une grande efficacité. Mais, c’est avec « Drop Your Eyes »,« Fumes of Fear » et « Because of Him » que nous plongerons dans l’univers très particulier, à plusieurs facettes, des Rusty Bells. Ils s’amusent avec leurs instruments et nous offrent des parties instrumentales et des variations intéressantes, avec un mélange entre psychédélisme calme et hystérique que nous retrouvons également dans « One Thing’s for sure ».
A chaque chanson, nous découvrons un nouvel aspect du groupe et ils savent aussi apporter à leurs compositions des mélodies très belles, moins dures, plus harmonieuses, voire intimistes et mélancoliques comme « Nothing is Right » et « My steel brother » qui, progressivement, montent en puissance; ou encore « The Overlord » et « Burning night » , très agréables à l’écoute par leur construction et les jeux de guitares.
« Pony’s black ideas » vient clôturer cette production sur une touche très « dark », le ton est assez grave et encore une fois nous passons d’un style à un autre dans une seule et même chanson avec cet éternel psychédélisme.
C’est avec leur énergie sauvage, un orgue psychédélique, des guitares saturées, un tambourin, une batterie exaltée, et l’ambiance qu’installent les Rusty Bells au fur et à mesure, que nous percevons de vives émotions. Peut-être est-ce leur façon d’exorciser le mal qui sommeille en nous ? Finalement, toutes ces mélodies nous cognent dans la tête pour notre plus grand plaisir. Il se dégage un son particulier, étonnamment pur et authentique ; ce n’est certainement pas pour rien que nos quatre musiciens ont souhaités enregistrer les instruments lors d’un concert !
Et il y a cette voix, enregistrée en studio, charismatique, vigoureuse, toujours impressionnante, même quand elle chuchote. Cette voix qui nous chante tout au long de l’album des textes dans un très bon anglais. Cette voix qui n’a pas peur de s’afficher, de s’affirmer et de revendiquer des thèmes comme l’amour, l’amitié, la trahison, l’abandon, le pardon et la violence. Cette voix, rejointe sur quelques titres par les chœurs qui viennent l’appuyer et la renforcer, notamment sur « Burning night ».
Un album troublant, qui ne vous laissera certainement pas indifférent. A écouter seul, à la tombée de la nuit ou quand sonne les douze coups de minuit, peu importe, simplement éclairé par la lueur d’une bougie pour se vider l’esprit et mieux repartir, telle une « Renaissance » ?
« Rebirth » Album Review – « Flash Hebdo »
« Rock toujours aves The Rusty Bells.
Plus classique mais tout aussi entraînant, le quartet toulousain sort l’album Rebirth, un condensé de rock pur et dur, sans artifice et sans concession.
Compositions inspirées et orchestrations soignées, ces cloches rouillées sonnent toujours fort et plongent l’auditeur dans un tourbillon de riffs et d’ambiance très diversifiés, allant du garage au psychédélique. Un bien bel ouvrage pour l’une des formations rock amateurs les plus actives de la région Midi-Pyrénées. »
FreeQuency & Metawelle – Compilation
The Rusty Bells « Fumes Of Fear » – FreeQuency Compilation
The Rusty Bells « Fumes Of Fear » – Metawelle Compilation
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