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The Rusty Bells & Hello Play!
French Version – Italian Version
Newspaper – « Le Coup de Coeur » La Voix du Midi
Watch the video : « Asleep » Live Acoustic Performance
ITW by Toulouse Acoustics
https://soundcloud.com/toulouse-acoustics/toulouse-acoustics-presente-the-rusty-bells
Newspaper – La Dépêche du Midi
» Depuis le mois de février, l’association toulousaine Psychedelic Revolution anime la ville rose avec des sonorités planantes du rock néopsyché mondial.
Lors de soirées organisées chaque mois, elle a associé rock néopsyché, vidéo-projections kaléidoscopiques, rétro projections créatives, performances visuelles… Forte de ce succès, l’association Psychedelic Revolution et le label Dead Bees Records présentent un véritable festival de trois jours, les 16, 17 et 22 septembre à la Dynamo.
Plusieurs figures du rock psyché y feront résonner leurs accords : Christian Bland, guitariste des Black Angels, Spindrift Feat. trois membres du Brian Jonestown Massacre et enfin Joel Gion, le fameux tambourine man de ce groupe culte…
Christian Bland et le groupe The Revelators ouvrent le festival mardi soir. «Il fait des étincelles quand, d’un claquement, il fait exploser son jeu de robot et se met à produire à la chaîne des éclats de son effrayants…», a écrit de lui un chroniqueur de Pitchfork Mag». Sa venue dans le cadre intime de La Dynamo, à l’occasion de «Psychedelic Revolution» est un événement. Christian Bland est en France pour seulement trois dates.
En première partie ce soir-là, les groupes toulousains «Sound Sweet Sound» et «Pearblossom Highway».
Le festival se poursuivra le 17 septembre avec le groupe «Spindrift». Ses concerts se déroulent. On ne distingue des musiciens que leurs stetsons sur fond de projections de paysages désertiques… C’est du côté du cinéma qu’il faut chercher leurs influences. À Toulouse pour «Ghost of the west tour», Spindrift est accompagné de trois membres du groupe culte «Brian Jonestown Massacre !». Deux autres groupes toulousains ouvrent la soirée : «Substitut» et «Red Woods».
Enfin, «Psychedelic Revolution» recevra le 22 septembre le percussionniste rock américain de San Francisco Joel Gion à l’occasion de la sortie de son premier album solo «Yes». Ses compositions, très marquées rythmiquement, baignent dans une ambiance années 1960.
Les groupes toulousains «The Rusty Bells» et «She Hunts Koalas» se produisent en première partie du concert.
«Psychedelic Revolution Fest) à La Dynamo (rue Amélie) les 16, 17 et 22 septembre. Pass pour trois soirs en prévente : 12€. Entrée à chaque concert : 6€. tél. 09 50 90 92 45. »
ITW by 2lives.fr
LINK : CLICK HERE
Report et propos recueillis : Solenne Menuel
Photographie : Yann Monesma
Nous avons rendez-vous sur la péniche « Cri de la Mouette » avec le groupe toulousain The Rusty Bells, ou devrions nous dire « Les cloches rouillées » en français !
The Rusty Bells, c’est d’abord le projet de deux hommes: Jérémy Andrès (Chant/guitare/ clavier) etChristophe Bureau (Batterie/maschine). Un projet qui voit le jour en 2008 et qui prend peu à peu forme, jusqu’à la sortie en 2012 de Rebirth (label Dead Bees records), leur premier et unique album à ce jour après deux EP qui s’ensuivront, dont le dernier sorti en novembre 2013.
Leur musique se veut très années sixties avec un son qui laisse des traces, entre caractère et obscurité.
INTERVIEW DES RUSTY BELLS
1/ Qui sont les Rusty Bells et pourquoi ce nom ?
Christophe : les Rusty Bells c’est Jérémy et Christophe. Jérémy au chant, clavier et guitare, et Christophe à la batterie et à la maschine .
Jérémy : on voulait un son assez massif et fort. Du coup l’idée de « bells » est parti de là.
Christophe : et « Rusty » c’était pour les influences de l’époque, un peu anciennes mais ça a évolué depuis !
2/ vous étiez encore trois il y a quelques semaines, maintenant vous n’êtes plus que deux. Comment se passe ce changement ?
Christophe : on a restructuré tous les morceaux
J : on a tout refait du début à la fin. On a trouvé d’autres solutions. Mais il a fallu garder une certaine identité dans le son, il a fallu respecter ça. On a trouvé d’autres solutions comme Christophe aux maschines
J : on enregistre des sons qu’on mixe au studio.
J : l’avantage c’est qu’on a un studio sur place
J : le travail est différent et des réflexions de travail par rapport à ça.
3/ vous êtes tous les deux professeurs de musique dans la même école de musique, votre groupe est formé depuis 2008. Est-ce que ce milieu de la musique a facilité les choses pour vous ?
J : l’avantage c’est qu’on travaille tous les jours ensemble, et dès qu’on a 5 minutes on va répéter dans le studio ou créer des sons. C’est vrai que par rapport à ça on n’a pas de contraintes.
4/ quelles sont vos influences musicales ?
J : on écoute en ce moment des musiques un peu psyché qui fait intervenir des mashines. Après même si on a un univers assez psyché on écoute de tout.
On va faire la 1ére partie de Brian Jonestone qui est une grande référence en rock psyché et underground. Mais de toute façon c’est peut-être lié au côté profs de musique qui nous oblige à être assez ouverts sur la musique et sur d’autres horizons.
5/ vous chantez en anglais, vous pensez que le français ne correspond pas au rock ?
J : je pense qu’un jour on va y venir !
J : j’écoute beaucoup de rock et de pop français mais après l’anglais nous ai paru naturel. C’est peut-être la langue universelle et que l’occasion ne s’est pas encore représentée.
6/ vous avez signé avec le label toulousain….comment se passe cette collaboration ?
J : ça se passe tout simplement
J : on est assez libres dans notre composition et le travail qu’on fournit. Ils ont un regard de conseil et d’avis.
7/ vous avez fait des premières parties d’artistes comme Julien Doré, The Bellrays, Heymoonshaker, Kolinka…vos sensations à ces concerts ?
J : le meilleur souvenir c’est Heymoonshaker. C’était assez énorme. On a pris une claque musicale assez forte. En plus ils ont une très grande humilité, ce qui est assez rare en musique.
8/ vos derniers coups de cœur musicaux ?
J : j’écoute Eminem en ce moment et The Temples
J : grâce à mon fils j’écoute …, beaucoup de Nougaro aussi et Ben Harper en boucle.
9/ vos projets ?
J : on va sortir un single à la rentrée qui a été enregistré à Paris il y a quelques mois puis d’autres titres dans le studio dès cet été.
J : on va profiter de l’été pour enregistrer le clip. Et on revient de tournée là. Puis d’autres dates à venir aussi à La Rochelle
J : on va se concentrer surtout sur le studio
En savoir d’avantage :
CONCERT DES RUSTY BELLS
Au Cri de la Mouette, le 22 Mai 2014
Au cours de cette interview, j’ai découvert un duo passionné par le rock psyché et par la musique tout court.
Quand je les avais découvert en 2012 sur cette même péniche leur rock était très brutal, un peu industriel. Et ce soir, j’ai entendu une musique moins frappée par la batterie, plus mélodieuse avec des sons plus doux à mes oreilles. Le côté psyché existe toujours mais le côté rock s’est changé en version light et moins brut de décoffrage !
La lumière tamisée bleutée nous enveloppe de mystère, et le vijing qui s’affiche derrière eux offre de multiples formes et couleurs sur les sons de la maschine et du duo batterie-guitare.
Très bon moment de rock et à découvrir vite en attendant la sortie de leur nouvel album à la fin de l’année.
Newspaper – Efflorescence Culturelle
The Rusty Bells s’invitent au Paris Paris Club
Le 2 mai prochain, le groupe français The Rusty Bells fera son apparition dans le petit club du 1er arrondissement de la capitale, au ParisParis Club. Le groupe qui part actuellement à « la conquête de l’espace » lors d’une petite tournée, nous avait accordé une interview en fin d’année dernière. Il pourra compter sur la puissance de son rock psychédélique pour envoûter les plus curieux.
The Rusty Bells, c’est d’abord le projet de deux hommes: Jérémy Andrès (Chant/guitare/ clavier) et Christophe Bureau (Batterie). Un projet qui voit le jour en 2008 et qui prend peu à peu forme, jusqu’à la sortie en 2012 deRebirth, leur premier et unique album à ce jour après deux EP qui s’ensuivront, dont le dernier sorti en novembre 2013. On comprend alors mieux l’idée. Mis en avant avec leurs titres My Steel Brother ou encoreFumes Of Fear, leur musique se veut très années sixties avec un son qui laisse des traces, entre caractère et obscurité.
Sur scène, toujours vendredi soir, The Rusty Bells se verra accompagner de The Oddmen, un quintet marqué par le même esprit rock-psychédélique que celui de ses confrères. L’événement à ne surtout pas rater sous aucun prétexte si vous tenez la fibre rock.
L’occasion de vous annoncer que 2×2 places sont à gagner pour assister au concert. Pour cela, il suffit de laisser votre NOM+PRÉNOM « PARISPARIS CLUB 02/05″ à efflorescenceculturelle@gmail.com. Le tirage au sort sera organisé le vendredi 02 mai à 14h. Les résultats seront partagés sur la page Facebook et le Twitterdu site.
Live Report by Capitole Live (with Heymoonshaker)
« La soirée commence avec les toulousains des Rusty Bells : le début de set fonctionne très bien, planté par un univers visuel intéressant, à la fois psychédélique et pop, des riffs et un rythme très appuyé. Peu à peu les claviers se font plus présents, dans des tonalités basses, tirant l’ensemble vers des influences pink floyd amples et lourdes. »
Dead Bees Records Playlist on Peachr (10 years)
Dead Bees records is a fiercely independent record label based in Toulouse, France. Associated acts come from France, UK, USA, Australia, Russia …
Newspaper – couleurs culturelles vivantes
« Le rock psychédélique est un genre musical apparu au milieu des années 1960, inspiré par l’usage de drogues psychédéliques et notamment du LSD (acid rock). Ce genre est caractérisé par une construction rythmique peu complexe et hypnotique, des mélodies répétitives et pénétrantes, des solos instrumentauxlongs et tortueux, modelés d’effets sonores tels que la wah-wah et la distorsion, le tout dans des morceaux généralement assez longs. Ce concept s’est propagé à des degrés divers dans plusieurs styles musicaux dans le rock mais aussi dans d’autres milieux comme la musique soul. Il forme avec la pop psychédélique et la trance psychédélique l’une des branches musicales majeures du psychédélisme. Dans les années 1960 : L’album Are You Experienced (Jimi Hendrix) est aujourd’hui considéré comme le premier album psychédélique. Les membres du groupe texan 13th Floor Elevators, considéré aujourd’hui comme l’archétype du groupe psychédélique, sont les premiers à définir leur musique comme étant du « rock psychédélique ». Dès janvier 1966 ils impriment une carte de visite à leur nom et portant la mention « psychedelic rock »1. Le 10 février 1966 voit aussi la première parution du terme dans un journal (Austin Statesman), dans un article sur le groupe. Leur album,The Psychedelic Sounds of the 13th Floor Elevators, est l’un des premiers, avec ceux de The Deep et Blues Magoos, à porter le mot « psychedelic » dans leur titre. Ce style était particulièrement caractéristique des groupes de la côte ouest des États-Unis (Californie), tels que Grateful Dead, Quicksilver Messenger Service, Tommy James and the Shondells, Jefferson Airplane, et aussi les Seeds, Love et Spirit avec son album twelve dreams of doctor sardonicus. Des formations de blues-rock, comme Jimi Hendrix (avec sa chanson « Purple Haze ») et les Doors ont subi l’influence du mouvement et ont contribué à son succès. Des formations moins connues sont apparues dans d’autres régions des États-Unis, comme Bubble Puppy au Texas, Vanilla Fudge et The Third Bardo à New York. Le premier disque de Frank Zappa, Freak Out!, sorti en 1966, est fortement imprégné du concept « psyché », le morceau Trouble Every Day étant un modèle du genre. Les Byrdsparticiperont au genre avec le titre Eight Miles High et l’album Fifth Dimension. L’influence psychédélique s’est également fait sentir dans la musique « noire », et le célèbre label Motown sous l’impulsion du producteur Norman Whitfield, a donné naissance entre autres aux succès Ball of Confusion et Psychedelic Shack, joués par les Temptations. À la fin de la décennie, des groupes plus électriques apparentés au heavy metal, les Stooges, le MC5, Grand Funk Railroad, et surtout IronButterfly, avec son célèbre morceau In-A-Gadda-Da-Vida, donnèrent un nouveau terrain d’expression à l’esprit psychédélique. De même Led Zeppelin a révolutionné le psychédélisme en introduisant dans ses chansons (surtout Dazed and Confused et Whole Lotta Love) un interlude très spécial. En Grande-Bretagne, la « révolution » psychédélique s’est produite plus tard, mais son impact n’en a pas été moins significatif sur la scène rock. D’abord les Pink Floyd avec leur premier album The Piper at the Gates of Dawn, presque entièrement composé par Syd Barrett, l’un des précurseurs de la musique psychédélique, ainsi que des artistes confirmés comme Eric Burdon des The Animals, The Who, lesBeatles et même les Rolling Stones ont composé nombre de chansons aux accents psychédéliques. Pour les Beatles, cette influence est déjà nettement perceptible dans la chanson Tomorrow Never Knows, sur l’album Revolver (1966), ainsi que dans plusieurs chansons du disque Sgt Pepper, en particulier sur Lucy in the Sky with Diamonds. Sur l’album Magical Mystery Tour, cette influence est prépondérante avec I Am the Walrus et le titre Blue Jay Way (écrit et composé par George Harrison, qui était le membre du groupe le plus ancré dans l’atmosphère psychédélique), dans lequel on peut entendre des voix et chœurs vaporeux, presque murmurés, une batterie « floue » et des tonalités très orientales. Le montage Revolution 9 publié sur le disque The Beatles et les deux chansons composées par Harrison sur la trame sonore du film Yellow Submarine (Only a Northern Song et It’s All Too Much) en sont d’autres exemples frappants. En ce qui concerne les Rolling Stones, même si l’influence psychédélique se ressent dans plusieurs morceaux du début de leur carrière, le groupe a créé tout un album que l’on peut qualifier de psychédélique : Their Satanic Majesties Request (1967), avec des morceaux typiques tels que Citadel, 2000 Light Years from Home et, plus connu, She’s a Rainbow. Pourtant, ni les Animals, les Beatles, les Who et les Rolling Stones ne peuvent êtres classés comme groupes de rock psychédélique. La musique de Cream et de Pink Floyd à ses débuts est beaucoup plus représentative du mouvement psychédélique britannique. C’est cependant avec The Deviants, Hawkwind et les Pink Fairies que le concept s’implanta en Grande-Bretagne. L’influence du mouvement psychédélique se fit également sentir sur le rock progressif britannique qui en recycla certaines recettes pour en faire des produits plus alambiqués (Pink Floyd, Yes). En Allemagne, il n’y a pas eu de véritables groupes psychédéliques, mais la musique d’Amon Düül et de Can comporte une forte composante psychédélique. Plus récemment : Issu de la scène punk et psychédélique de New York et associé plus tard au mouvements post-punk, et new wave, le groupe Talking Heads a existé entre 1974 et 1991 et notamment joué au CBGB’s aux côtés de groupes tels que les Ramones, Television ou Patti Smith. Plusieurs groupes post-punk se sont inspirés du rock psychédélique. Dans les années 1980, Teardrop Explodes, Siouxsie and the Banshees et Echo & the Bunnymen sortent des albums marqués par cette période. Les musiciens de XTC publient des disques sous le pseudonyme, The Dukes of Stratosphear. Dans les années 1990, le groupe Kula Shaker joue une musique psychédélique d’influence indienne à l’image de leur album Peasant, pigs and astronauts. D’autres formations, Ozric Tentacles ou les Gallois de Gorky’s Zygotic Mynci continuent à perpétuer ce style en faisant référence à leurs précurseurs des années 1960, comme Steve Hillage et Gong, également classés dans le genre musical space rock. Il est important de rappeler le mouvement néo-psychédélique Paisley Underground, apparu à Los Angeles dans les années 1980. Parmi les groupes les plus représentatifs, on trouvait Dream Syndicate, The Three O’Clock, Green On Red, The Bangles, The Long Ryders. Ainsi que le mouvement garage punk rock psyché minimaliste d’aujourd’hui avec des groupes comme The Magnetix, Demon Claw’s, The Weakends, Jack of Heart, The Phonics-o, King khan and the BBQ, The Lamps, The intelligence, The intellectuals, Fleur, Big love and the heartbreaker, The Remenbers, Sex beet, Trou profond, The GIF, Rescue Boys etc. Les membres du groupe britannique Anomie se réclament du style garage psychédélia de par leurs influences musicales, Pink Floyd et Hawkwind. En fait, certaines musiques électroniques actuelles, de typetechno ambient ou trance comme la trance de Goa, auraient été classées dans le mouvement psychédéliques si elles étaient apparues avant les années 1990. Citons également les Smashing Pumpkins, qui ont fusionné psychédélisme et heavy metal, pour devenir un groupe de rock alternatif à succès des années 1990. En Angleterre, Spiritualized et Lupine Howl continuent de porter le flambeau. Au début des années 1990 apparait aux États-Unis un nouveau style largement influencé par le rock psychédélique et la marijuana : le stoner rock, composé de riffs à la fois lourds, répétitifs, et mélodiques, agrémenté de solos hypnotiques. Incarné dans ses débuts par le groupe Kyuss, la sortie de leur album Blues for the Red Sun sera une source d’inspiration pour nombre de nouveaux groupes. On trouve de nos jours beaucoup de groupes de ce style, souvent peu connus, comme Colour Haze, Brant Bjork and The Bros, Glowsun… Le groupe américain Monster Magnet (influencé par le stoner rock), conduit par son chanteur exubérant Dave Wyndorf génère actuellement (2004) une musique fusionnant space rock, rock psychédélique, heavy metal et s’inspirant beaucoup du blues. Le psychédelisme est une composante très importante de la musique du groupe d’Anton Newcombe, The Brian Jonestown Massacre, ainsi que dans le son de ses amis, proches ou ex-membres, Black Rebel Motorcycle Club, The Warlocks, The Dandy Warhols, The Quarter After, The Asteroid n°4, The Black Angels ou encore dans des groupes moins connus tel Django Django, THE RUSTY BELLS ou The Blondi’s Salvation. »
Link : couleurs-culturelles-vivantes
Newspaper – La Dépêche du Midi
Le label toulousain Dead Bees Record fête ses dix ans. Pour l’occasion, le groupe Rusty Bells (Jérémy, Christophe et Thomas)se produit ce soir au Saint des Seins à Toulouse. «Le bruit des cloches (rusty bells) est selon certaines croyances, purificateur, explique le groupe en chœur. Ce nom nous est venu instinctivement. On voulait transmettre une image de puissance et de musique corrosive.» Le trio s’est connu par la passion commune de la musique et du roller blading.
Depuis son premier CD, en 2008, les Rusty Bells n’ont cessé d’évoluer : «L’enregistrement a pris beaucoup d’importance. Thomas Desliens, ingénieur du son, nous a rejoints sur nos concerts.».
En 2012, le premier album, «Rebirth», est sorti. Un grand moment. «Nous en rêvions. Grâce au label Dead Bees Records, nous avons pu le faire. La tournée qui a suivi l’album a été incroyable.» Difficile d’imaginer ce que donne le groupe sur scène. Pas cloches du tout, les trois copains citent comme influences très mélangées Pink Floyd, Archive, The Justice, Soft Machine, Michael Jackson, Arthur Lee.
S. G.
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